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Le printemps
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses des lilas fleurissent.
Les amantes qui te chérissent
Délivrent leurs cheveux flottants.
Sous les rayons d’or éclatants
Les anciens lierres se flétrissent.
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses de lilas fleurissent.
Couchons-nous au bord des étangs,
Que nos maux amers se guérissent !
Mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos coeurs gonflés et palpitants.
Te voilà, rire du Printemps !
Théodore de Banville
3 commentaires -
Bonjour à tous
C'est avec toute mon amitié
que je viens vous souhaiter
une bon week-end.
une bonne semaine .
Prenez soin de vous .
Mille doux bisous du ❤️
Le printemps
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses des lilas fleurissent.
Les amantes qui te chérissent
Délivrent leurs cheveux flottants.
Sous les rayons d’or éclatants
Les anciens lierres se flétrissent.
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses de lilas fleurissent.
Couchons-nous au bord des étangs,
Que nos maux amers se guérissent !
Mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos coeurs gonflés et palpitants.
Te voilà, rire du Printemps !
Théodore de Banville
16 commentaires -
Vœux de la Saint Patrick
Puissiez-vous avoir
Une maison contre le vent
Un toit contre la pluie
L'amour d'une famille unie
Puissiez-vous toujours être entourés
De gens joyeux et d'éclats de rire
De tous ceux que vous aimez
Puissiez-vous avoir
Tout ce que votre coeur désire.
Maintenant que nous avons offert nos vœux à nos amis,
aimerais-tu connaître un peu plus les irlandais, et leur légendes ?
La Saint Patrick est célébrée le 17 mars par les Irlandais pour honorer
Saint Patrick, un missionnaire qui a converti l'Irlande au christianisme.
On dit qu'il a utilisé le trèfle pour expliquer le concept de la Sainte Trinité:
le Père, le Fils et le Saint Esprit.
Depuis ce jour, le trèfle est l'emblème national de l’Irlande, et les Irlandais le portent
fièrement à leur boutonnière le jour de la Saint Patrick.
Une légende dit que Saint Patrick a chassé les serpents de l'Irlande,
Les serpents ont tous été engloutis dans l'océan,
on ne sait pas tout à fait la raison de cette légende,
mais on pense que c'est parce que le serpent était un symbole païen
et que Saint Patrick aurait chassé les païens hors de l'Irlande.
En Amérique, la Saint Patrick est un jour de fête et de réjouissance.
La Saint Patrick a été célébrée pour la première fois,
à Boston Massachusetts. en 1737.
A Montréal, le jour de la Saint Patrick, les Irlandais font une parade,
tout le monde fête avec eux.
pour les montréalais, la Saint Patrick annonce le début du printemps.
1 commentaire -
Bonjour à tous
C'est avec toute mon amitié
que je viens vous souhaiter
Une bonne journée.
Une bonne fête de St Patrick
Portez vous bien
Mille doux bisous ♥
Vœux de la Saint Patrick
Puissiez-vous avoir
Une maison contre le vent
Un toit contre la pluie
L'amour d'une famille unie
Puissiez-vous toujours être entourés
De gens joyeux et d'éclats de rire
De tous ceux que vous aimez
Puissiez-vous avoir
Tout ce que votre coeur désire.
Maintenant que nous avons offert nos vœux à nos amis,
aimerais-tu connaître un peu plus les irlandais, et leur légendes ?
La Saint Patrick est célébrée le 17 mars par les Irlandais pour honorer
Saint Patrick, un missionnaire qui a converti l'Irlande au christianisme.
On dit qu'il a utilisé le trèfle pour expliquer le concept de la Sainte Trinité:
le Père, le Fils et le Saint Esprit.
Depuis ce jour, le trèfle est l'emblème national de l’Irlande, et les Irlandais le portent
fièrement à leur boutonnière le jour de la Saint Patrick.
Une légende dit que Saint Patrick a chassé les serpents de l'Irlande,
Les serpents ont tous été engloutis dans l'océan,
on ne sait pas tout à fait la raison de cette légende,
mais on pense que c'est parce que le serpent était un symbole païen
et que Saint Patrick aurait chassé les païens hors de l'Irlande.
En Amérique, la Saint Patrick est un jour de fête et de réjouissance.
La Saint Patrick a été célébrée pour la première fois,
à Boston Massachusetts. en 1737.
A Montréal, le jour de la Saint Patrick, les Irlandais font une parade,
tout le monde fête avec eux.
pour les montréalais, la Saint Patrick annonce le début du printemps.
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À la Font-Georges
Voici les lieux charmant où mon âme ravie
Passait à contempler Sylvie
Ces tranquilles moment si doucement perdus.
Boileau.
O champs pleins de silence,
Où mon heureuse enfance
Avait des jours encor
Tout filés d’or !
O ma vieille Font-Georges,
Vers qui les rouges-gorges
Et le doux rossignol
Prenaient leur vol !
Maison blanche où la vigne
Tordait en longue ligne
Son feuillage qui boit
Les pleurs du toit !
O claire source froide,
Qu’ombrageait, vieux et roide,
Un noyer vigoureux
A moitié creux !
Sources ! fraîches fontaines !
Qui, douces à mes peines,
Frémissiez autrefois
Rien qu’à ma voix !
Bassin où les laveuses
Chantaient insoucieuses
En battant sur leur banc
Le linge blanc !
O sorbier centenaire,
Dont trois coups de tonnerre
Avaient laissé tout nu
Le front chenu !
Tonnelles et coudrettes,
Verdoyantes retraites
De peupliers mouvants
A tous les vents !
O vignes purpurines,
Dont, le long des collines,
Les ceps accumulés
Ployaient gonflés ;
Où, l’automne venue,
La Vendange mi-nue
A l’entour du pressoir
Dansait le soir !
O buissons d’églantines,
Jetant dans les ravines,
Comme un chêne le gland,
Leur fruit sanglant !
Murmurante oseraie,
Où le ramier s’effraie,
Saule au feuillage bleu,
Lointains en feu !
Rameaux lourds de cerises !
Moissonneuses surprises
A mi-jambe dans l’eau
Du clair ruisseau !
Antres, chemins, fontaines,
Acres parfums et plaines,
Ombrages et rochers
Souvent cherchés !
Ruisseaux ! forêts ! silence !
O mes amours d’enfance !
Mon âme, sans témoins,
Vous aime moins
Que ce jardin morose
Sans verdure et sans rose
Et ces sombres massifs
D’antiques ifs,
Et ce chemin de sable,
Où j’eus l’heur ineffable,
Pour la première fois,
D’ouïr sa voix !
Où rêveuse, l’amie
Doucement obéie,
S’appuyant à mon bras,
Parlait tout bas,
Pensive et recueillie,
Et d’une fleur cueillie
Brisant le cœur discret
D’un doigt distrait,
A l’heure où les étoiles
Frissonnant sous leurs voiles
Brodent le ciel changeant
De fleurs d’argent.
Octobre 1844.
Théodore de Banville, Les Stalactites, 1846
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