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Bonjour à toutes et tous .
J'espère que vous allez bien ?
il fait un beau soleil après la pluie
Passez une bonne journée .
Passez un bon weekend .
Prenez soin de vous .
Avec toute mon amitié .
Bisous du ♥
Le vent d’autrefois
Il est minuit et demi
Le vinyle tourne
Toujours
Ce vent d’autrefois
Café, et encore du café
Ses yeux diamants
Inconscients
Ne se cachent jamais
L’encre des idées
A peine séchée
Et tout est repris
Tout est réécrit à nouveau
Le rythme de la basse
Coule à travers son corps
Comme du chocolat fondant
Dans la bouche veloutée
De celle qu’il aime
Jules Delavigne, 2006
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Poème pour la Pentecôte
C’est le feu qui saisit les entrailles de l’âme
Pour y insuffler la foi
C’est la brise légère sur mon visage
Pour me parler de Toi
C’est le souvenir d’aubes blanches
Professant leur foi
C’est la lumière de l’espérance
En plus grand que soi
C’est la lecture familière
Des Apôtres parlant en langues
C’est le cénacle de la surprise
Pour des disciples en capacité de Toi
C’est la flamme jamais rassasiée de cire
Qui brûle le cœur épris de Toi
C’est le printemps entêtant de senteurs
Qui se mêlent aux couleurs de la joie
C’est la fleur sur la vigne
Et sur l’acacia
C’est la pivoine épanouie
Au soleil de Ton aura
C’est l’avènement de l’Esprit
Sur l’Église déjà là
Et sur le front embaumant le saint Chrême
De l’enfant humble choisi par Toi
Véronique Belen
1 commentaire -
Bonne fête de Pentecôte à tous .
Passez un bon dimanche .
Prenez soin de vous .
Avec toute mon amitié
Bisous câlins du ♥
Poème pour la Pentecôte
C’est le feu qui saisit les entrailles de l’âme
Pour y insuffler la foi
C’est la brise légère sur mon visage
Pour me parler de Toi
C’est le souvenir d’aubes blanches
Professant leur foi
C’est la lumière de l’espérance
En plus grand que soi
C’est la lecture familière
Des Apôtres parlant en langues
C’est le cénacle de la surprise
Pour des disciples en capacité de Toi
C’est la flamme jamais rassasiée de cire
Qui brûle le cœur épris de Toi
C’est le printemps entêtant de senteurs
Qui se mêlent aux couleurs de la joie
C’est la fleur sur la vigne
Et sur l’acacia
C’est la pivoine épanouie
Au soleil de Ton aura
C’est l’avènement de l’Esprit
Sur l’Église déjà là
Et sur le front embaumant le saint Chrême
De l’enfant humble choisi par Toi
Véronique Belen
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Fleurs d’aurore
Comme au printemps de l’autre année,
Au mois des fleurs, après les froids,
Par quelque belle matinée,
Nous irons encore sous bois.
Nous y verrons les mêmes choses,
Le même glorieux réveil,
Et les mêmes métamorphoses
De tout ce qui vit au soleil.
Nous y verrons les grands squelettes
Des arbres gris, ressusciter,
Et les yeux clos des violettes
À la lumière palpiter.
Sous le clair feuillage vert tendre,
Les tourterelles des buissons,
Ce jour-là, nous feront entendre
Leurs lentes et molles chansons.
Ensemble nous irons encore
Cueillir dans les prés, au matin,
De ces bouquets couleur d’aurore
Qui fleurent la rose et le thym.
Nous y boirons l’odeur subtile,
Les capiteux arômes blonds
Que, dans l’air tiède et pur, distille
La flore chaude des vallons.
Radieux, secouant le givre
Et les frimas de l’an dernier,
Nos chers espoirs pourront revivre
Au bon vieux soleil printanier.
En attendant que tout renaisse,
Que tout aime et revive un jour,
Laisse nos rêves, ô jeunesse,
S’envoler vers tes bois d’amour !
Chère idylle, tes primevères
Éclosent en toute saison ;
Elles narguent les froids sévères
Et percent la neige à foison.
Éternel renouveau, tes sèves
Montent même aux coeurs refroidis,
Et tes capiteuses fleurs brèves
Nous grisent comme au temps jadis.
Oh ! oui, nous cueillerons encore,
Aussi frais qu’à l’autre matin,
Ces beaux bouquets couleur d’aurore
Qui fleurent la rose et le thym.
Nérée Beauchemin, Les floraisons matutinales
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Bonjour à toutes et tous .
J'espère que vous allez bien ?
Après la tempête
il fait un beau soleil,
Passez une bonne journée .
Passez un bon weekend .
Prenez soin de vous .
Avec toute mon amitié .
Bisous du ♥
Fleurs d’aurore
Comme au printemps de l’autre année,
Au mois des fleurs, après les froids,
Par quelque belle matinée,
Nous irons encore sous bois.
Nous y verrons les mêmes choses,
Le même glorieux réveil,
Et les mêmes métamorphoses
De tout ce qui vit au soleil.
Nous y verrons les grands squelettes
Des arbres gris, ressusciter,
Et les yeux clos des violettes
À la lumière palpiter.
Sous le clair feuillage vert tendre,
Les tourterelles des buissons,
Ce jour-là, nous feront entendre
Leurs lentes et molles chansons.
Ensemble nous irons encore
Cueillir dans les prés, au matin,
De ces bouquets couleur d’aurore
Qui fleurent la rose et le thym.
Nous y boirons l’odeur subtile,
Les capiteux arômes blonds
Que, dans l’air tiède et pur, distille
La flore chaude des vallons.
Radieux, secouant le givre
Et les frimas de l’an dernier,
Nos chers espoirs pourront revivre
Au bon vieux soleil printanier.
En attendant que tout renaisse,
Que tout aime et revive un jour,
Laisse nos rêves, ô jeunesse,
S’envoler vers tes bois d’amour !
Chère idylle, tes primevères
Éclosent en toute saison ;
Elles narguent les froids sévères
Et percent la neige à foison.
Éternel renouveau, tes sèves
Montent même aux coeurs refroidis,
Et tes capiteuses fleurs brèves
Nous grisent comme au temps jadis.
Oh ! oui, nous cueillerons encore,
Aussi frais qu’à l’autre matin,
Ces beaux bouquets couleur d’aurore
Qui fleurent la rose et le thym.
Nérée Beauchemin, Les floraisons matutinales
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