• ETE 18

     

    ETE 18

    Bonjour à toutes et tous .
    J'espère que vous allez bien ?
    il fait un beau soleil après la pluie
    Passez une bonne journée .
    Passez un bon weekend .
    Prenez soin de vous .
    Avec toute mon amitié .
    Bisous du ♥

    ETE 18


    Le vent d’autrefois

    Il est minuit et demi
    Le vinyle tourne
    Toujours
    Ce vent d’autrefois

    Café, et encore du café
    Ses yeux diamants
    Inconscients
    Ne se cachent jamais

    L’encre des idées
    A peine séchée
    Et tout est repris
    Tout est réécrit à nouveau

    Le rythme de la basse
    Coule à travers son corps
    Comme du chocolat fondant
    Dans la bouche veloutée
    De celle qu’il aime

    Jules Delavigne, 2006
     

     

     

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  • KIT 1

     

    KIT 1


    Poème pour la Pentecôte

    C’est le feu qui saisit les entrailles de l’âme
    Pour y insuffler la foi
    C’est la brise légère sur mon visage
    Pour me parler de Toi

    C’est le souvenir d’aubes blanches
    Professant leur foi
    C’est la lumière de l’espérance
    En plus grand que soi

    C’est la lecture familière
    Des Apôtres parlant en langues
    C’est le cénacle de la surprise
    Pour des disciples en capacité de Toi

    C’est la flamme jamais rassasiée de cire
    Qui brûle le cœur épris de Toi
    C’est le printemps entêtant de senteurs
    Qui se mêlent aux couleurs de la joie

    C’est la fleur sur la vigne
    Et sur l’acacia
    C’est la pivoine épanouie
    Au soleil de Ton aura

    C’est l’avènement de l’Esprit
    Sur l’Église déjà là
    Et sur le front embaumant le saint Chrême
    De l’enfant humble choisi par Toi

    Véronique Belen

      

     

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  • KIT 1

     

    KIT 1

    Bonne fête de Pentecôte à tous .
    Passez un bon dimanche .
    Prenez soin de vous .
    Avec toute mon amitié
    Bisous câlins du ♥

    KIT 1


    Poème pour la Pentecôte

    C’est le feu qui saisit les entrailles de l’âme
    Pour y insuffler la foi
    C’est la brise légère sur mon visage
    Pour me parler de Toi

    C’est le souvenir d’aubes blanches
    Professant leur foi
    C’est la lumière de l’espérance
    En plus grand que soi

    C’est la lecture familière
    Des Apôtres parlant en langues
    C’est le cénacle de la surprise
    Pour des disciples en capacité de Toi

    C’est la flamme jamais rassasiée de cire
    Qui brûle le cœur épris de Toi
    C’est le printemps entêtant de senteurs
    Qui se mêlent aux couleurs de la joie

    C’est la fleur sur la vigne
    Et sur l’acacia
    C’est la pivoine épanouie
    Au soleil de Ton aura

    C’est l’avènement de l’Esprit
    Sur l’Église déjà là
    Et sur le front embaumant le saint Chrême
    De l’enfant humble choisi par Toi

    Véronique Belen

      

     

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  • ETE 15


    ETE 15


    Fleurs d’aurore

    Comme au printemps de l’autre année,
    Au mois des fleurs, après les froids,
    Par quelque belle matinée,
    Nous irons encore sous bois.

    Nous y verrons les mêmes choses,
    Le même glorieux réveil,
    Et les mêmes métamorphoses
    De tout ce qui vit au soleil.

    Nous y verrons les grands squelettes
    Des arbres gris, ressusciter,
    Et les yeux clos des violettes
    À la lumière palpiter.

    Sous le clair feuillage vert tendre,
    Les tourterelles des buissons,
    Ce jour-là, nous feront entendre
    Leurs lentes et molles chansons.

    Ensemble nous irons encore
    Cueillir dans les prés, au matin,
    De ces bouquets couleur d’aurore
    Qui fleurent la rose et le thym.

    Nous y boirons l’odeur subtile,
    Les capiteux arômes blonds
    Que, dans l’air tiède et pur, distille
    La flore chaude des vallons.

    Radieux, secouant le givre
    Et les frimas de l’an dernier,
    Nos chers espoirs pourront revivre
    Au bon vieux soleil printanier.

    En attendant que tout renaisse,
    Que tout aime et revive un jour,
    Laisse nos rêves, ô jeunesse,
    S’envoler vers tes bois d’amour !

    Chère idylle, tes primevères
    Éclosent en toute saison ;
    Elles narguent les froids sévères
    Et percent la neige à foison.

    Éternel renouveau, tes sèves
    Montent même aux coeurs refroidis,
    Et tes capiteuses fleurs brèves
    Nous grisent comme au temps jadis.

    Oh ! oui, nous cueillerons encore,
    Aussi frais qu’à l’autre matin,
    Ces beaux bouquets couleur d’aurore
    Qui fleurent la rose et le thym.

    Nérée Beauchemin, Les floraisons matutinales

     

     

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  • ETE 15

    ETE 15

     Bonjour à toutes et tous .
    J'espère que vous allez bien ?
    Après la tempête
    il fait un beau soleil,
    Passez une bonne journée .
    Passez un bon weekend .
    Prenez soin de vous .
    Avec toute mon amitié .
    Bisous du ♥

    ETE 15


    Fleurs d’aurore

    Comme au printemps de l’autre année,
    Au mois des fleurs, après les froids,
    Par quelque belle matinée,
    Nous irons encore sous bois.

    Nous y verrons les mêmes choses,
    Le même glorieux réveil,
    Et les mêmes métamorphoses
    De tout ce qui vit au soleil.

    Nous y verrons les grands squelettes
    Des arbres gris, ressusciter,
    Et les yeux clos des violettes
    À la lumière palpiter.

    Sous le clair feuillage vert tendre,
    Les tourterelles des buissons,
    Ce jour-là, nous feront entendre
    Leurs lentes et molles chansons.

    Ensemble nous irons encore
    Cueillir dans les prés, au matin,
    De ces bouquets couleur d’aurore
    Qui fleurent la rose et le thym.

    Nous y boirons l’odeur subtile,
    Les capiteux arômes blonds
    Que, dans l’air tiède et pur, distille
    La flore chaude des vallons.

    Radieux, secouant le givre
    Et les frimas de l’an dernier,
    Nos chers espoirs pourront revivre
    Au bon vieux soleil printanier.

    En attendant que tout renaisse,
    Que tout aime et revive un jour,
    Laisse nos rêves, ô jeunesse,
    S’envoler vers tes bois d’amour !

    Chère idylle, tes primevères
    Éclosent en toute saison ;
    Elles narguent les froids sévères
    Et percent la neige à foison.

    Éternel renouveau, tes sèves
    Montent même aux coeurs refroidis,
    Et tes capiteuses fleurs brèves
    Nous grisent comme au temps jadis.

    Oh ! oui, nous cueillerons encore,
    Aussi frais qu’à l’autre matin,
    Ces beaux bouquets couleur d’aurore
    Qui fleurent la rose et le thym.

    Nérée Beauchemin, Les floraisons matutinales

     

     

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