-
-
Promenade blanche de vieille France
L’écrasement de la neige sous les bottes
Les branches cassées sur le chemin
Le cliquetis régulier de quelques gouttes s’échappant des stalactites de glace
Des flocons perdus aux quatre vents tombent des arbres aplatis
Les cheminées dégagent des parfums de tarte de grand mère
Les chalets chauds au pied des pentes raides ou s’étirent jusqu’au firmament les grands sapins
Les luges qui glissent sans laisser place au silence de ce lieu la nuit
Des cris de joie,
Des boules de neige,
Le ciel et ses nuages blancs
Tout est ici comme l’enfance
comme un voyage du temps jadis
Tout est ici comme en vieille France
Images d’Epinal, simplicité, absence, magie
C’est la plus belle promenade blanche de ma vieElodie Santos
4 commentaires -
Voici venue le weekend alors
passez un bon samedi et dimanche , reposez vous et prenez soin de vous .Bientôt les fêtes .
Passez une bonne semaine .
Bisous du ♥Promenade blanche de vieille France
L’écrasement de la neige sous les bottes
Les branches cassées sur le chemin
Le cliquetis régulier de quelques gouttes s’échappant des stalactites de glace
Des flocons perdus aux quatre vents tombent des arbres aplatis
Les cheminées dégagent des parfums de tarte de grand mère
Les chalets chauds au pied des pentes raides ou s’étirent jusqu’au firmament les grands sapins
Les luges qui glissent sans laisser place au silence de ce lieu la nuit
Des cris de joie,
Des boules de neige,
Le ciel et ses nuages blancs
Tout est ici comme l’enfance
comme un voyage du temps jadis
Tout est ici comme en vieille France
Images d’Epinal, simplicité, absence, magie
C’est la plus belle promenade blanche de ma vieElodie Santos
7 commentaires -
Que j’aime le premier frisson d’hiver…Que j’aime le premier frisson d’hiver ! le chaume,
Sous le pied du chasseur, refusant de ployer !
Quand vient la pie aux champs que le foin vert embaume,
Au fond du vieux château s’éveille le foyer ;C’est le temps de la ville. – Oh ! lorsque l’an dernier,
J’y revins, que je vis ce bon Louvre et son dôme,
Paris et sa fumée, et tout ce beau royaume
(J’entends encore au vent les postillons crier),Que j’aimais ce temps gris, ces passants, et la Seine
Sous ses mille falots assise en souveraine !
J’allais revoir l’hiver. – Et toi, ma vie, et toi !Oh ! dans tes longs regards j’allais tremper mon âme ;
Je saluais tes murs. – Car, qui m’eût dit, madame,
Que votre coeur si tôt avait changé pour moi ?Alfred de Musset
1 commentaire -
Bonjour à tous .
Voici venue le weekend alors
passez un bon samedi et dimanche , reposez vous et prenez soin de vous .
Passez une bonne semaine .
Bisous du ♥
Que j’aime le premier frisson d’hiver…Que j’aime le premier frisson d’hiver ! le chaume,
Sous le pied du chasseur, refusant de ployer !
Quand vient la pie aux champs que le foin vert embaume,
Au fond du vieux château s’éveille le foyer ;C’est le temps de la ville. – Oh ! lorsque l’an dernier,
J’y revins, que je vis ce bon Louvre et son dôme,
Paris et sa fumée, et tout ce beau royaume
(J’entends encore au vent les postillons crier),Que j’aimais ce temps gris, ces passants, et la Seine
Sous ses mille falots assise en souveraine !
J’allais revoir l’hiver. – Et toi, ma vie, et toi !Oh ! dans tes longs regards j’allais tremper mon âme ;
Je saluais tes murs. – Car, qui m’eût dit, madame,
Que votre coeur si tôt avait changé pour moi ?Alfred de Musset
9 commentaires