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Par sylvie erwan le 14 Février 2020 à 08:10
Une première Saint Valentin
C'est l'amour qui naît
Tel un doux chaton
Et l'on rêverait
L'avoir à foison !C'est l'amour qui court
Qui nous rend heureux
Qu'on voudrait toujours
Garder merveilleux...C'est le feu du coeur
Que tu réanimes
A chaque belle heure
Où tu me sublimes...En complicité
Au coeur de douceurs
Je souhaite t'aimer
Pour des millions d'heures !Je t'aime mon Amour
Tel le fort Soleil
J'espère chaque jour
Que tu me vois vieille !Mon amour sans fin,
Veux-tu me garder ?
Bonne Saint Valentin
Pleine de doux baisers...Valérie S. (Art & Poèmes)
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Par sylvie erwan le 14 Février 2019 à 08:10
Je me ferais tout petit.
Par une douce nuit,
J'ai trouvé les clefs de ton cœur,
Lorsque je suis entré sans bruit,
J'ai forcé les portes du bonheur !
Avec toi juste une nuit,
J'ai aperçu un recoin de paradis !
Comme un jardin glamour,
Où pousseraient les fleurs de ton amour !
Crois-moi, nous serons unis,
Tant que l'amour portera ses fruits !
Peut-être pour l'infini,
Le jour comme la nuit !
Aurais-je ma place au paradis ?
Mais si tu veux de moi,
Je me ferai tout petit,
Pour une nuit, une vie avec toi !
Sylver BelhacheacheMon Valentin
Le jour se lève et je réalise que c'est notre journée,
Romantisme, amour et tendresse sont mes perspectives,
Ce que j'attends plus que tout, c'est notre soirée,
Je commence alors à me trouver des idées créatives;
Je t'imagine avec ton plus beau sourire,
Cette bouche magnifique à la couleur rosée,
Je souhaite la gouter, la toucher,
Cette irrépressible envie m'attire;
Puis viendra le moment charnel,
Savourer ce moment comme l'unique fois,
Tes mains expertes pliants sous mes dessous de dentelle,
Me donne alors l'envie de toi.
La nuit se présente à son tour,
Je m'enfonce alors dans cette euphorie,
Apaisé au creux de tes bras qui m’entourent,
Saint Valentin a eu pour moi un goût de magie.
- Alexandra D. -
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Par sylvie erwan le 14 Février 2018 à 08:00
A la Femme aiméeLorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
Le soir d’été semblait un rêve oriental
De rose et de santal.Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour
L’agonie et l’amour.Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m’apparus.Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
D’infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d’émerveillement.
Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité.Renée Vivien, Etudes et préludes
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