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Par sylvie erwan le 17 Mars 2016 à 23:13
Petit poème pour souhaiter de Joyeuses Pâques
Petit poème pour vous souhaiter de Joyeuses Pâques
Le jour de la fête de Pâques l'amour tendre ressuscite
Religion ou pas, peu importe, l'humanité est réussite
Les enfants ont des oeufs en chocolat plein leurs sacsCette fête de Pâques nous rappelle qu'il faut s'aimer
Amis, Famille, étranger, l'amitié et l'amour il faut semer
Beaux Poèmes et belle poésie d'amitié pour effacer nos maux
Messages d'amour pour souhaiter de Joyeuses Pâques en motsJésus, Mahomet, Moïse ou Boudha sont des frères d'amitié
Croyants Chrétiens, Musulmans, Juifs et partisans de la Laïcité
Humanistes, Hommes et Femmes libres sont aujourd’hui frères
En ce beau jour de Pâques s'unissent en une seule et même prièrePetit poème pour vous souhaiter de Joyeuses Pâques
Le jour de la fête de Pâques l'amour tendre ressuscite
Religion ou pas, peu importe, l'humanité est réussite
Les enfants ont des œufs en chocolat plein leurs sacs .
Hamo
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Par sylvie erwan le 10 Mars 2016 à 21:36
La cigale
Le soleil fendille la terre,
Aucun bruit ne trouble les champs ;
On n'entend plus les joyeux chants
Des oiseaux qui chantaient naguère.
Tous par la chaleur assoupis
Sous les buissons se sont tapis.
Seule une cigale est sur l'aire.Son ventre sonore se meut ;
Sur une gerbe elle est posée ;
Seule elle n'est point épuisée
Par l'astre à l'haleine de feu.
Et la chanteuse infatigable
Jette dans l'air brûlant et bleu
Sa ritournelle interminable.Marcel Pagnol
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Par sylvie erwan le 10 Mars 2016 à 20:58
Le Chrétien mourant
Qu'entends-je ? autour de moi l'airain sacré résonne !
Quelle foule pieuse en pleurant m'environne ?
Pour qui ce chant funèbre et ce pâle flambeau ?
O mort, est-ce ta voix qui frappe mon oreille
Pour la dernière fois ? eh quoi ! je me réveille
Sur le bord du tombeau !O toi ! d'un feu divin précieuse étincelle,
De ce corps périssable habitante immortelle,
Dissipe ces terreurs : la mort vient t'affranchir !
Prends ton vol, ô mon âme ! et dépouille tes chaînes.
Déposer le fardeau des misères humaines,
Est-ce donc là mourir ?Oui, le temps a cessé de mesurer mes heures.
Messagers rayonnants des célestes demeures,
Dans quels palais nouveaux allez-vous me ravir ?
Déjà, déjà je nage en des flots de lumière ;
L'espace devant moi s'agrandit, et la terre
Sous mes pieds semble fuir !Mais qu'entends-je ? au moment où mon âme s'éveille,
Des soupirs, des sanglots ont frappé mon oreille ?
Compagnons de l'exil, quoi ! vous pleurez ma mort ?
Vous pleurez ? et déjà dans la coupe sacrée
J'ai bu l'oubli des maux, et mon âme enivrée
Entre au céleste port !Alphonse de Lamartine (1790-1869)
(Méditations poétiques)
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