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hommage à ma Maman
Ton départ au pays des anges généreux
N’effacera jamais le souvenir des jours heureux
Maman, Tu as été pour moi la meilleure des mères
Une mère en Or dont le cœur est fait de lumière
Repose en Paix ma mère, en ma vie tu restes le plus beau thème
Maman Je t’aime… Ton amour aujourd’hui encore sème la joie .
Tu étais là pour moi dès les premiers jour de mon existence
Au commencement de ma vie, ton ventre était mon monde
Un monde d’amour, une protection qui de tendresse inonde
Aujourd’hui, Tu n’es plus là et pourtant tu es omniprésente
Tes mots d’amour résonnent encore dans ma tête et mon coeur
Quand Je pense à Toi, Je suis à la fête et vis dans le bonheur
Maman Tu me manques trop, mais je sais que tu veilles sur moi
Ma mère Je t’aime à jamais, Tous mes chemins de vie mènent à toi .
Tu as partagé avec moi mes premiers Jours
Je t’ai accompagnée durant tes derniers Jours
Mon amour pour Toi Maman est une grande source de vie
La mort qui t’a apportée ne pourra effacer cette tendresse infinie
Repose en paix ma Douce Mère, Envole-toi au paradis
Au Paradis des mamans gentilles et des mères évanouies
La mort comme la maladie n’effacera jamais notre amour inoui
Reçois ces doux mots d’amour de ton enfant aimant
Laisse-les te transporter vers un monde apaisant
Tu as réussi ton passage sur terre en étant la meilleure des mères
Toute ta famille te dit Adieu, à Dieu… Tes enfants sont de toi très fiers
Que Dieu te protège Notre Mère! Qu’il entende nos plus belles prières
Demain nous te retrouverons… De belles retrouvailles avec notre mère .
2 commentaires -
Te souviens-tu maman ?
Que dire d'une mère,
Qui n'a pas été dit,
Prières et mille vers,
Encore on en écrit.
Mais c'est pour toi, maman,
Que ces mots, tendrement,
Défilent sous mes yeux,
Sans trêve, comme un jeu ;
Et souviens toi, maman,
Quand nous étions enfants,
Tu peignais nos cheveux,
Et essuyais nos yeux.
Si peine et désarroi
Viennent frapper chez toi,
Tu les laisses entrer
Sans jamais rechigner ;
Et jamais ton visage
Ne m'a montré de larmes
Et la vie qui défile,
Laisse ton cœur sans ride ;
Alors, dis-moi ma mère,
Quel donc est ton secret,
Rends-moi les idées claires...
Es-tu donc une fée ?
Cathy Barges.
votre commentaire -
Que tout soit agréable et plaisant au cours de la fête des mamans,
qu'il y ait pendant la journée des moments que vous n'oublierez pas de sitôt
puisqu'ils auront été vraiment les plus beaux.
Passez un bon dimanche , une bonne semaine et mille doux bisous ♥
Te souviens-tu maman ?
Que dire d'une mère,
Qui n'a pas été dit,
Prières et mille vers,
Encore on en écrit.
Mais c'est pour toi, maman,
Que ces mots, tendrement,
Défilent sous mes yeux,
Sans trêve, comme un jeu ;
Et souviens toi, maman,
Quand nous étions enfants,
Tu peignais nos cheveux,
Et essuyais nos yeux.
Si peine et désarroi
Viennent frapper chez toi,
Tu les laisses entrer
Sans jamais rechigner ;
Et jamais ton visage
Ne m'a montré de larmes
Et la vie qui défile,
Laisse ton cœur sans ride ;
Alors, dis-moi ma mère,
Quel donc est ton secret,
Rends-moi les idées claires...
Es-tu donc une fée ?
Cathy Barges.
6 commentaires -
Les Roses
Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour
En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore,
Naît, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore
Éveille les divins murmures de l’amour.
O Sylphes ingénus, vous voilà de retour!
De mille joyaux d’or la forêt se décore,
Et blanche, regardant les corolles éclore,
Titania folâtre au milieu de sa cour,
A travers l’éther pur dont elle fait sa proie,
Tandis que la lumière, éclatante de joie,
Frissonne dans la bleue immensité des cieux.
Beauté qui nous ravis avec tes molles poses,
Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et délicieux
De plonger follement ta bouche dans les roses?
Novembre 1888
Théodore de Banville, Dans la fournaise, 1892
votre commentaire -
Bonjour à toutes et tous .
J'espère que vous allez bien ?
Ici il fait un beau soleil,
mais la pluie arrive !
Passez une bonne journée .
Passez un bon weekend .
Prenez soin de vous .
Avec toute mon amitié .
Bisous du ♥
Les Roses
Le Printemps rayonnant, qui fait rire le jour
En montrant son beau front, vermeil comme l’aurore,
Naît, tressaille, fleurit, chante, et dans l’air sonore
Éveille les divins murmures de l’amour.
O Sylphes ingénus, vous voilà de retour!
De mille joyaux d’or la forêt se décore,
Et blanche, regardant les corolles éclore,
Titania folâtre au milieu de sa cour,
A travers l’éther pur dont elle fait sa proie,
Tandis que la lumière, éclatante de joie,
Frissonne dans la bleue immensité des cieux.
Beauté qui nous ravis avec tes molles poses,
Dis, n’est-ce pas qu’il est doux et délicieux
De plonger follement ta bouche dans les roses?
Novembre 1888
Théodore de Banville, Dans la fournaise, 1892
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