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Grossesse
Grossesse, quel mot immonde,
pour cette merveilleuse métamorphose.Grossesse, voulue ou non,
désirée, provoquée ou avortée.Grossesse, en prélude à la
maternité, la mère enfantée.Grossesse, fruit de l’amour,
l’amour éclair ou l’amour toujours.Grossesse, moment de plénitude,
ou quand l’enfant élève la mère.Grossesse, heureux hasard
aléatoire, source de vie.Grossesse, nausées, insomnies,
mal-être oubliés dès le premier regard,
entre le nouveau-né et sa mère fraîchement nommée.Nashmia Noormohamed, 2015
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Rien qu'un ti mot
pour souhaiter à toutes les mamans du monde
une très bonne fête.
Passez un bon week-end
une bonne semaine .
Prenez soin de vous .
Mille doux bisous du ♥Petite Maman
Un petit message,
Pour te dire que tournent des pages.
Les pages sont les années,
Pendant toutes lesquelles tu nous as bercé, aimé.
Tu nous as appris la vie,
Grâce à toi on en sourit.
Tu nous as montré le bonheur,
Et as consolé nos peur,
Je t'écris ce petit mot aujourd'hui,
Pour te dire un grand merci.
De toutes les mamans tu es la meilleure,
Et je te garderai éternellement dans mon cœur.
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Passez un bon week-end
une bonne semaine.
J'espère qu'il y aura du soleil
Mille doux bisous du ♥
Rectangle triangulaire
L’allée est silencieuse
Je n’entends pas les oiseaux ce matinCette fois tous les arbres sont verts autour de la gare
Un mécanisme de vérité s’est mis en route inexorablementVoilà pourquoi je ne comprends plus rien
Ce printemps ne ressemble plus à celui où j’étais fidèle à toutes mes femmes
J’attends l’heure éternelle de volupté
Semblable à la délicatesse des sens
Qui occupait l’espace d’une vieLa joie n’aura plus jamais sa place maintenant
C’est l’heure de la folie destructrice
Que nous attendons tousEdgar Georges, 1999
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Rectangle triangulaire
L’allée est silencieuse
Je n’entends pas les oiseaux ce matinCette fois tous les arbres sont verts autour de la gare
Un mécanisme de vérité s’est mis en route inexorablementVoilà pourquoi je ne comprends plus rien
Ce printemps ne ressemble plus à celui où j’étais fidèle à toutes mes femmes
J’attends l’heure éternelle de volupté
Semblable à la délicatesse des sens
Qui occupait l’espace d’une vieLa joie n’aura plus jamais sa place maintenant
C’est l’heure de la folie destructrice
Que nous attendons tousEdgar Georges, 1999
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Ronde de PrintempsDans le Parc, dans le Parc les glycines frissonnent,
Etirant leurs frêles bras –
Ainsi que de jeunes filles
Qui se réveillent d’un court sommeil
Après la nuit dansée au bal,
Les boucles de leurs cheveux
Tout en papillotes
Pour de prochaines fêtes –
Dans le Parc.
Dans les Prés, dans les Prés les marguerites blanches
S’endimanchent, et les coquelicots
Se pavanent dans leurs jupes
Savamment fripées,
Mais les oiseaux, un peu outrés,
Rient et se moquent des coquettes
Dans les Prés.
Dans les Bois, dans les Bois les ramures s’enlacent:
Voûte de Cathédrale aux Silences
Où le pas des Visions se fait pieux et furtif,
Parmi les poses adorantes des Hêtres
Et les blancs surplis des Bouleaux –
Sous les vitraux d’émeraude qui font
Cette lumière extatique –
Dans les Bois.
Dans l’Eau, dans l’Eau près de joncs somnolents
Tremblent les étoiles plues du soleil
Dans l’Eau,
Et la Belle tout en pleurs
Tombe parmi les joncs somnolents,
Et la Belle
Meurt parmi la torpeur lumineuse des flots:
La Belle Espérance
S’est noyée, et cela fait des ronds
Dans l’Eau.
Marie KrysinskaÀ Charles de Sivry.
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